Un artiste à la croisée de deux mondes que tout semblerait opposer : la Suisse et l’Argentine. Né d’un père argentin et d’une mère suissesse, il grandit en Suisse avant de se rendre à Berlin pour poursuivre ses études de musique avant de s’installer à Paris.
C’est à Paris qu’il rencontre le percussionniste argentin que l’on ne présente plus, Minino GARAY, qui l’adoube et l’accompagne sur diverses scènes avant d’enregistrer ensemble un album en trio de percussions dans un répertoire afro-latin.
« El Sueño » , « Le Rêve » en espagnol, est le nouveau projet de Lucas Dorado dont l’album sortira au printemps de 2025. C’est une musique métissée entre jazz et folklore argentin, que nous propose de découvrir l’artiste ; une fusion entre l’Argentine et le Jazz pluriel qu’affectionne particulièrement Lucas Dorado.
Mais plus qu’un voyage dans deux esthétiques musicales, Lucas nous propose de rêver avec lui ! Si sa musique est inspirée de ses rêves de jour ou de nuit, l’un de ses rêves est aussi de pouvoir partager sa musique avec les publics et qu’ils soient embarqués dans un rêverie musicale qui les déconnecterait de la vie réelle, le temps d’un concert…
Lucas Dorado crée ce groupe « El Sueño » en 2023, laisse libre cours à sa créativité débordante et rêveuse et écume quelques belles scènes internationales pour ressentir l’impact auprès des publics avant de passer en studio : Zig Zag Jazzclub de Berlin, AWO Kulturhaus Babelsberg Potsdam et bien entendu le Sunset/Sunside Jazzclub de Paris où il réside. Il invite régulièrement quelques chanteuses telles Monika Kabasele, Agathe Iracema ou encore Camille Bertault.
Le groupe s’est déjà distingué en 2024 en remportant le Prix du Public dans la finale du Tremplin « Tonnerre de Jazz » à Billère (64).
A l’automne 2024, El Sueño sera enregistré au studio « Ohm Sweet Ohm » à Paris. L’album sortira au printemps 2025 avec un concert de sortie parisienne, le 3 avril à Le Son de la Terre.
Ne quittez pas des yeux cette étoile montante…
Lucas Dorado nait à Biel-Bienne (CH) en 1995 et apprend les rythmes latino-américains de son père depuis sa plus tendre enfance. C’est au Conservatoire de Biel-Bienne qu’il étudie la batterie et la percussion avant de finalement se spécialiser avec le vibraphone.
Depuis l’âge de 17 ans, il se produit dans différents pays d’Europe, d’Amérique du Sud et d’Afrique. Il a eu le plaisir de jouer dans des salles de renommée internationale comme la Philharmonie de Berlin, le New Morning Paris ou Nja’Nja M’ndzang au Cameroun. On peut l’entendre sur plusieurs productions d’albums jazz/pop/latin comme Parcels (Because Music 2018), Viaje – Trio Dorado (L’Horizon Violet Paris 2023) ou MetaMadera (Sound Surveyor 2024).
Après ses études à la Haute École de Musique de Lausanne (CH), il obtient en 2015 une bourse (Fritz Gerber Stiftung) pour continuer son Bachelor en vibraphone jazz à l’Université des Arts de Berlin.
Fin 2017, il remporte le 1er Prix du premier Concours de vibraphone jazz à Pescara (Italie) et l’année suivante il devient ambassadeur officiel de la célèbre marque de vibraphone Yamaha, qu’il représente depuis lors de ses concerts.
En 2019, son premier livre pour vibraphone solo Nuevos Ritmos est publié par la maison d’édition norvégienne Norsk Musikforlag, et deux ans plus tard il devient également ambassadeur officiel de la marque américaine Pearl Drums, pour le vibraphone électronique malletSTATION.
Il finalise en 2022 le renommé programme de master « European Jazz Master » en collaboration avec les Universités de Paris, Copenhague, Trondheim et Amsterdam. La même année, il obtient une autre bourse (Société Helvétique de Bienfaisance) pour réaliser son nouveau projet El Sueño, avec des musiciens professionnels français. Depuis, il vit et travaille à Paris.
Début 2024, il a remporté le prix du public au Concours Tonnerre de Jazz de Billère avec son groupe El Sueño.
Lucas Dorado est un artiste curieux et éclectique qui travaille aussi bien dans le jazz que dans le latin, l’afro ou même le classique. Il a travaillé à plusieurs reprises avec l’Orchestre Deutsche Oper pour un répertoire classique au Philarmonique de Berlin, collabore régulièrement avec Minino Garay, mais il a aussi rencontré et joué avec les artistes bien connus tels que Randy Brecker, Juan Munguia ou Quique Sinesi.
Fabrizio Colombo est un bandonéoniste, compositeur et arrangeur né en 1994 à Mendoza, en Argentine, et actuellement basé à Paris, en France. Il a trouvé dans le bandonéon une polyvalence qui l’a amené à évoluer dans différents genres musicaux tels que le tango, le jazz et la musique classique. Il s’est produit en tant que soliste sur des scènes d’Amérique du Sud, des États-Unis et d’Europe, interprétant des oeuvres elles que le « Concierto Aconcagua pour bandonéon, orchestre à cordes et percussions » (Astor Piazzolla) et la « Misa a Buenos Aires » (Martín Palmeri), entre-autres.
En 2019, il remporte le premier Prix du Concours International « Che Bandoneón » dans le Vermont, aux États-Unis. Il a partagé la scène avec des musiciens de renom tels que Néstor Marconi, Diego Schissi, Santiago Arias, Minino Garay, Cedric Hanriot, et d’autres.
Il a participé en tant que sessionniste à de nombreuses productions discographiques, notamment à la chanson « Nunca Más » pour la bande originale du film « 1985 » de Santiago Mitre, qui a été nominée aux Oscars. Il a également fait partie de la section bandonéon de la prestigieuse Orquesta del Tango de la Ciudad de Buenos Aires sous la direction de Néstor Marconi et Juan Carlos Cuacci, à côté des bandonéonistes les plus remarquables d’Argentine.
Né dans une famille de musiciens passionnés par la musique classique et le tango, Fabrizio a reçu ces influences dès son plus jeune âge. Il a commencé à jouer du violon à l’âge de huit ans, avec son père comme professeur, et, en même temps, il a commencé son activité chorale avec sa mère, chanteuse lyrique. Enfin, il a décidé de consacrer sa carrière professionnelle au bandonéon, suivant ainsi les traces de son grand-père, le bandonéoniste Francisco Colombo et directeur de son propre orchestre typique, qui était une référence principale du tango à Mendoza.
Fabrizio a actuellement trois enregistrements d’albums à son actif : « Celedonio – Fabrizio Colombo 7teto (2022), Afinidad – Pinto Colombo Dúo (2022) et Vestigio – Colombo Pérez Colombo (2020).
En 2022, la musique de Fabrizio Colombo fait partie du catalogue officiel de l’éminent label « Shagrada Medra », dirigé par le célèbre pianiste et compositeur argentin Carlos Aguirre.
Michelangelo Scandroglio, bien que tout jeune, est déjà considéré comme l’une des promesses les plus intéressantes du jazz italien. Il a été l’un des lauréats du « Riga International Jazz Bass Competition », du prix « Tomorrow’s Jazz 2018 » pour les meilleurs jeunes talents du jazz italien (Veneto Jazz), et récemment gagnant de « Conad Jazz Contest » organisé par Umbria Jazz et décerné par un jury présidé par Paolo Fresu.
En 2020 sort « In the Eyes of the Whale », son premier album en tant que compositeur et leader. Le projet remporte l’appel « New Generation jazz » lancé par IJazz et soutenu par le MiBAC (Ministère du Patrimoine Culturel et des Activités), qui comprend de nombreux concerts dans des festivals, clubs et festivals d’institutions prestigieuses et Villes italiennes et européennes « Italian Jazz Days », vitrines annuelles, résidences et projets artistiques.
Sacha Souêtre découvre la musique à l’âge de 7 ans. Originaire de Cambrai, c’est là-bas qu’il commence l’apprentissage du piano et de la batterie. D’abord en musiques actuelles, puis en musique classique.
Désireux d’apprendre de nouvelles conceptions et visions, il se dirige vers le jazz en intégrant le Pôle Sup’ 93 en 2020. C’est dans cet établissement qu’il est formé par des musiciens de renoms tels que Vincent Ségal, Julien Lourau et François Jeanneau… Il fait désormais ses études au CNSMD de Paris en batterie jazz et musiques improvisées, dans les classes de Riccardo Del Fra, Pierre de Bethmann, Franck Agulhon, Paul Lay, François Théberge… En parallèle, il continue l’apprentissage du piano classique et vient d’obtenir son diplôme de fin d’études.
Depuis il a intégré plusieurs projets en tant que sideman et vogue dans les clubs de jazz parisiens et européens. Principalement avec « El Sueño », mené par Lucas Dorado mélangeant jazz et rythmes d’Amérique latine, avec « Jet Whistle », un quintet free fusion dirigé par la flutiste Fanny Martin ou encore avec « Brumes », le quintet d’Antonin Pauquet mêlant jazz et musiques traditionnelles françaises dont l’album fut classé « Révélation jazz » dans Jazz magazine ou encore album de la semaine sur FIP.
D’autre part, il développe ses propres compositions et arrangements au sein d’univers variés. Que ce soit en jazz, influencé par la musique de Joel Ross et Immanuel Wilkins ou bien dans la musique électronique avec son nouveau projet « Solar is Dead » qui mélange ambient, techno, et jazz avec une touche psychédélique et enragée.
Lors de ses études il s’est découvert une passion pour l’arrangement et la composition de tous types allant de la musique de film au jazz, en passant par les musiques actuelles et donc en expérimentant au sein de formations de toutes tailles. Peu à peu, il a appris à réagir et à s’adapter rapidement, afin de répondre à toutes les éventualités en tant qu’interprète et arrangeur, tout en gardant une singularité dans son jeu et son écriture. De nouveaux horizons se dessinent pour ce jeune musicien très talentueux !
Gabriel Zamora-Cortese est un jeune guitariste et compositeur chilien basé à Paris. Il commence à jouer plusieurs instruments dès son jeune âge et apprend la batterie et le piano, et finalement c’est la guitare qui devient son choix de carrière.
Influencé par son éducation multiculturelle, son jeu reflète sa vision artistique ouverte et ses nombreuses inspirations musicales au fil des années (rock, classique, folklore andin, jazz contemporain, etc). Il est actif sur la scène jazz parisienne en tant que sideman dans des nombreux projets ainsi qu’en tant que compositeur avec son propre projet « Ciclo ».